• Mots, citations, ...

     

    Pensées d’auteurs, de photographes et/ou de voyageurs qui nous ont marqué.

     

    « Ailakh ne signifie-t-il pas « voyager » en mongol mais aussi « mourir », ce qui implique la transformation du corps, un effacement partiel de l'identité et un grand dépouillement ? Celui-ci n'est pas synonyme de privation mais de libération. Libération des énergies, libération des pensées qui encombrent l'esprit. Le dépouillement célèbre la fragilité de la vie tout en développant des capacités d'invention, d'audace et d'humilité. » Marc Allaux, La Vertu des steppes, Petite révérence à la vie nomade.

     

    « Bien plus que les difficultés propres du voyage, c'est la politique des hommes qui rend ces contrées inaccessibles » (Ella Maillart, Oasis Interdites).

     

    « La photographie et le voyage nous amènent à affiner notre perception du réel. Ils nous ouvrent un autre mode de regard par le biais de l'intuition, de la remise en question et de l'assimilation de nouveaux repères, créant ainsi une nouvelle géographie, un nouveau langage, un rapport à l'autre différent et une temporalité insoupçonnée ». Mathieu raffart, La soif d'images, ed. Transboréale, 2009.   

     

    « On se déplace en voyage, à chaque heure de la journée, comme dans les rayonnages d'une bibliothèque, passant sans transition de la géographie à l'anthropologie, de la littérature à l'histoire ». Mathieu raffart, La soif d'images, ed. Transboréale, 2009.

     

     

    «  Le signe d’une minorité c’est la différence. Celle de la naissance, du hasard, du choix, de la croyance, de la prédilection, de l’inertie – certaines sont irrévocables : les gens peuvent être gros, pleins de tâches de rousseur, handicapés, se distinguer par leur ethnicité, leur âge, leur classe sociale, leurs attitudes, leur profession, leur enthousiasme [...] Chaque milieu est un petit monde en soi, une sous-culture, avec des règles du jeu, légèrement différentes. Ne pas les ignorer, ne pas les mettre dans le même panier mais les observer, les prendre en compte, leur prêter attention [...] dans l’idée d’en faire un livre de photographies ». 

     

    « The quiet minorities », projet pour la fondation INGRAM MERRILL, 1971, Diane ARBUS »

     

     


  • Commentaires

    1
    bernard Chambel
    Vendredi 8 Février 2013 à 11:15

    La photo de votre tente sous la neige est impressionnante, heureusement, vous avez l'habitude

    "petits Savoyards". Bonne route.

    Bernard

    2
    Bisontine
    Mardi 12 Novembre 2013 à 22:50

    ... et toujours de très belles photos, de paysages magnifiques et de visages superbes... on sent leurs vies grâce à vos yeux ! Bonne fin de route...J'ai un énorme regret : ne pas résider plus près de Sallanches où vous allez revenir et raconter votre voyage, vos voyages en fait... Je vous souhaite belle réussite. 

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